2014, année marquée par une initiative 100% arcachonnaise, conjuguée par l'hôtel Ville d'Hiver et la Librairie Générale avec pour mission d’accueillir des auteurs d'horizons divers, en hiver !
Et voici l'interview exclusive de Jonathan à la sortie de sa résidence d'hiver:
Jonathan, que retiens-tu de ton passage à l'hôtel Ville d'Hiver ?
Une étrange impression! C’est un lieu très “pictural”, qui possède une ambiance particulière, à la fois suranné et moderne, hors du temps. J’y ai passé quelques heures à fouiner dans tous les coins à la recherche d’un passage secret éventuellement dissimulé derrière un tableau ou un miroir. Et quand j’ai monté l’escalier pour accéder au bar du restaurant, je me suis senti un peu comme James Bond qui débarquait soudainement dans un roman d’Agatha Christie pour commander une vodka-martini à la camomille.
Quelle suite vas-tu donner à cette expérience ?
Immédiatement, ça m’a inspiré le sujet d’une nouvelle, dont j’ai écris sur le champ quelques lignes, l’étrange histoire d’un écrivain en résidence à l’hôtel Ville d’Hiver que sa compagne rejoint pour la soirée de la Saint Valentin avant de disparaître mystérieusement. Ou pas.
Que penses-tu d'Arcachon en hiver ?
La ville possède un certain charme l’hiver, débarrassé de ses hordes de touristes germanophones. Je suis peut être un peu pervers sur les bords, mais j’adore l’atmosphère ouatée de cette cité balnéaire où il faut bien chercher pour dénicher un restaurant ouvert le soir. On dirait parfois un décor entre Simenon et la série du Poulpe, avec une sorte de tension sourde permanente...
Peut-on écrire aujourd'hui sur Arcachon ?
Du coup, j’ai envie de dire que justement, comme l’hôtel Ville d’Hiver, Arcachon est un espace-temps assez particulier, entre deux eaux. Un décor idéal pour un bon polar un peu poisseux ou une nouvelle fantastique qui dérape sans crier gare! Et puis, c’est une ville encore en pleine évolution, qui ouvre un infini de possibles...
As-tu vécu un évènement marquant durant ton séjour ?
Je crois que c’est la seconde fois de ma vie que je portais un peignoir, et la première fois que le peignoir en question était siglé aux initiales de l’hôtel.
Une étrange impression! C’est un lieu très “pictural”, qui possède une ambiance particulière, à la fois suranné et moderne, hors du temps. J’y ai passé quelques heures à fouiner dans tous les coins à la recherche d’un passage secret éventuellement dissimulé derrière un tableau ou un miroir. Et quand j’ai monté l’escalier pour accéder au bar du restaurant, je me suis senti un peu comme James Bond qui débarquait soudainement dans un roman d’Agatha Christie pour commander une vodka-martini à la camomille.
Quelle suite vas-tu donner à cette expérience ?
Immédiatement, ça m’a inspiré le sujet d’une nouvelle, dont j’ai écris sur le champ quelques lignes, l’étrange histoire d’un écrivain en résidence à l’hôtel Ville d’Hiver que sa compagne rejoint pour la soirée de la Saint Valentin avant de disparaître mystérieusement. Ou pas.
Que penses-tu d'Arcachon en hiver ?
La ville possède un certain charme l’hiver, débarrassé de ses hordes de touristes germanophones. Je suis peut être un peu pervers sur les bords, mais j’adore l’atmosphère ouatée de cette cité balnéaire où il faut bien chercher pour dénicher un restaurant ouvert le soir. On dirait parfois un décor entre Simenon et la série du Poulpe, avec une sorte de tension sourde permanente...
Peut-on écrire aujourd'hui sur Arcachon ?
Du coup, j’ai envie de dire que justement, comme l’hôtel Ville d’Hiver, Arcachon est un espace-temps assez particulier, entre deux eaux. Un décor idéal pour un bon polar un peu poisseux ou une nouvelle fantastique qui dérape sans crier gare! Et puis, c’est une ville encore en pleine évolution, qui ouvre un infini de possibles...
As-tu vécu un évènement marquant durant ton séjour ?
Je crois que c’est la seconde fois de ma vie que je portais un peignoir, et la première fois que le peignoir en question était siglé aux initiales de l’hôtel.
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