Lettres à mon cher petit frère qui n'est pas encore né de Frédéric Kessler et Alain Pilon, éditions Grasset jeunesse, 13.90 euros
Tout est dans le titre sauf peut-être le fait que voici un livre tendrement drôle que nous vous conseillons vivement sur la naissance des sentiments entre deux frères: admiration, chamaillerie et affection bien sûr, mais aussi respect et courtoisie qui font sortir cet album du lot!
Nous ne résistons pas à vous en retranscrire les premières pages:
" Mon cher grand frère,
Voilà bientôt neuf mois que je grandis dans le ventre de notre tendre maman.
Ici la vie est bien douce, la température idéale, et il ne fait jamais ni faim ni soif.
A très très bientôt,
Votre puîné.
post-scriptum: Savez-vous déjà si je suis un garçon ou une fille?
Monsieur le gros bébé,
Profitez-en!!! Ici, l'hiver on grelotte, et l'été on transpire. On mange à heure fixe et pas moyen de grignoter entre les repas.
Sachez que vous êtes un garçon, et n'allez pas me demander le prénom ridicule que nos parents ont choisi pour vous, car à peine on me l'avait dit, que j'ai tout fait pour l'oublier.
A bientôt quand même,
Votre aîné."
Tout est dans le titre sauf peut-être le fait que voici un livre tendrement drôle que nous vous conseillons vivement sur la naissance des sentiments entre deux frères: admiration, chamaillerie et affection bien sûr, mais aussi respect et courtoisie qui font sortir cet album du lot!
Nous ne résistons pas à vous en retranscrire les premières pages:
" Mon cher grand frère,
Voilà bientôt neuf mois que je grandis dans le ventre de notre tendre maman.
Ici la vie est bien douce, la température idéale, et il ne fait jamais ni faim ni soif.
A très très bientôt,
Votre puîné.
post-scriptum: Savez-vous déjà si je suis un garçon ou une fille?
Monsieur le gros bébé,
Profitez-en!!! Ici, l'hiver on grelotte, et l'été on transpire. On mange à heure fixe et pas moyen de grignoter entre les repas.
Sachez que vous êtes un garçon, et n'allez pas me demander le prénom ridicule que nos parents ont choisi pour vous, car à peine on me l'avait dit, que j'ai tout fait pour l'oublier.
A bientôt quand même,
Votre aîné."