Une dystopie ! Le créateur de Titeuf continue de s’aventurer loin de ses bases mais avec conviction.
Inspirée par les travaux de Francis Hallé et surtout par le pessimisme de ses conclusions, l’histoire de The end prend pour témoin d’un évènement déterminant pour l’espèce humaine, Théodore, un jeune stagiaire scientifique.
L’observation du fonctionnement des arbres sert de fil conducteur à The end. Celle-ci s’avère d’ailleurs passionnante pour le lecteur tout comme pour Théodore. Le jeune homme débarque en Suède pour étudier les arbres auprès du professeur Frawley qui étudie avec passion la vie de ces derniers qu'il désigne comme une civilisation secrète qui mémoriserait, tel un codex, l’histoire de la terre.
Voilà où en sont les avancées du professeur Frawley au moment où de nouveaux indices laissent à penser qu'une accélération subite d’un processus incontrôlable est dirigé à l'encontre de l’humanité.
Voilà où en sont les avancées du professeur Frawley au moment où de nouveaux indices laissent à penser qu'une accélération subite d’un processus incontrôlable est dirigé à l'encontre de l’humanité.
Qui sont les responsables des morts collectives constatées en différents endroits de la planète ?
Zep dessine merveilleusement les paysages qui composent son histoire. L’intrigue scientifique demeure compréhensible et passionnante. Séduisante également sa capacité d’imaginer la résolution de mystères sur l'histoire de la Terre et de ses habitants. Les pages se tournent vite. La fin mériterait une suite mais le message laissé par Zep se contente de servir d'avertissement à l’intention de l’humanité.
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